© Pat O'Neill / Cinédoc 2003
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Oeuvres
Water and Power
1979-89
Thèmes du film : Paysage, Architecture, Urbanisme, Ville, le Temps, Lumière Versions distribuées : Version 1 : Copie film 35mm 00:55:10 Couleur Sonore optique Tarif de location : Nous consulter
Version 2 : Copie film 16mm 00:55:00 Couleur Sonore optique (monosound) Tarif de location : Nous consulter
Version 3 : Numérique Fichier HD ProRes 00:55:10 Couleur Sonore Tarif de location : Nous consulter
> Collaborations +
Design électronique et software de motion control : Mark Madel. Design mécanique : Joe Louis. Audio design et production : George Lockwood Optical printer : Beth Block. Animateurs : Daina Krumins, Megan Williams, Diana Wilson. Musiciens : John Bergamo, percussion Greg Johnson, percussion Robert Lloyd, piano Kurt Festinger, flute, saxophone Vivian Miller, alto. Musique : "Spacehead", Lester Bowie , ECM Records "Omega is the Alpha", Albert Ayler, ABC Records "Amara Servitu", Francesco Cavalli (1669) The London Early Music Group: James Tyler, director Glenda Simpson, alto. Nonesuch records Avec: Joel Lorimen, Beth Block, George Lockwood, Megan Williams, Ric Stafford, Chris Casady, Amy Halperin, Michael Pestel, Tom Leeser, Adam Dubov, Carlos Durazo, Bill Stobaugh, Beverly Bernacke, Byron Werner, Jon Lee, James Valentine, Jan Nordstrom Remerciements : Jay Cassidy, Scott Grieger, David Pann, Harry Frazer, Jacky De Haviland, Dan Kohne, Billy Robinson, David Berry, Jim Shaw, Patty Podesta, James Sullivan, David Wilson, Carmen Vigil. Partiellement subventionné par The National Endowment for the Arts.
> Descriptif, commentaire +
Grand prix du jury – Documentaire, Sundance Film Festival, 1990.
“Pat O'Neill traverse cette histoire de l'expérimentation et invente un cinéma des incommensurables luxuriants (...), avec son dernier film [en date], Water and Power, dans lequel il relance la question de la narration.” – Claudine Eizykman, Un Cabinet d'amateurs n°17, 24-25 juin 1995.
“Le titre vient du district de Los Angeles. Une grande partie du film a été tournée dans la vallée de l’Owens, et il aborde métaphoriquement l’échange d’énergie entre les deux lieux. Il est aussi question d’eau, dans tous ses états, et de mouvements cycliques : les planètes, les marées, la rotation implicite de la caméra sur son axe, et les actions répétées des interprètes. Il évoque également des citations de films plus anciens et de leurs bandes sonores : par moments, leurs paysages se fondent dans ceux du présent. L’habitat humain dans cette région sauvage devient précaire et risqué.” – Pat O'Neill, traduit du catalogue de Canyon Cinema.
Vidéos : Water and power - Pat O'Neill (extrait)
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